Dans la première partie du blogue, je vous ai parlé du rôle des gestionnaires dans l’intégration des changements, abordons maintenant le rôle clé que la haute direction doit jouer.
Ah! Oui? Basé sur quoi? Ils ont livré à peu près à temps, à peu près dans le budget et en respectant à peu près la portée. Dira-t-on qu’il est un succès simplement parce qu’on l’a enfin terminé, même si c’est quelques mois plus tard, quelques millions plus tard et avec une finalité bien différente de ce qu’on attendait?
On entend trop rarement dire qu’un projet est un succès parce que toutes les parties prenantes se le sont approprié et qu’il est possible de mesurer les résultats.
La gestion traditionnelle du changement aide sans aucun doute, tel que démontré dans la première partie du blogue, mais il faut cesser de croire que, parce qu’il y a une équipe de gestion du changement en place, le reste de l’organisation ne doit pas s’en préoccuper.
Outre les rôles importants que jouent les gestionnaires dans l’intégration du changement, il est encore plus essentiel que la haute direction :
Un mode de gestion plus agile qui permette aux individus de s’impliquer dans la définition des changements et des gestionnaires plus imputables des résultats.
» Lisez La gestion du changement suffit-elle? (1/2)
Manon Champagne,
Co-fondatrice, présidente et conseillère stratégique
Aplus